Cela faisait une éternité que je n'avais pas ressorti mes crayons
et plus le temps passait, plus "j'appréhendais" de les reprendre de
peur d'être sévèrement rouillée.
Et puis un simple coup d'œil à mon
calendrier a suffi à me redonner l'envie de gribouiller, rien de tel en ce qui
me concerne qu'un thème "imposé" couplé à quelque chose que
j'affectionne particulièrement, et hop !! Voilà que la mine recommence à
glisser sur le Canson comme si je n'avais jamais arrêté.
J'ai eu, comme beaucoup, plusieurs de ces
petits potes à écailles, ceux-là mêmes que l'on martyrise encore trop souvent
en les condamnant à nager en rond dans un bocal, ou que l'on trouve à la pelle en
sachets plastiques sur les stands des fêtes foraines.
Mais ma passion pour eux a dépassé le
simple "objet d'ornement" et il m'est bien souvent arrivé de
m'inquiéter, de veiller et même de soigner, mes petits compagnons dont le tout
premier se prénommait Bubulle (et il ne devait pas être le seul, allez avouer-le !).
Ces "poissons rouges" comme on
les nomme trop souvent à tort (dois-je vous rappeler qu'ils sont loin d'être
tous rouges ?), et qui sont en réalité, ni plus ni moins que des carpes koïs,
symbole d'amour et de virilité en Asie du Sud-est (rien que ça).
Vous aurez pu constater que, contrairement
au titre de cet article, il ne s'agit pas d'une farce, mais plutôt d'un petit
hommage à mes petits poi-pois (ainsi affectueusement surnommés) disparus trop vite.
Joli dessin, effectivement il y a vraiment une influence asiatique dans le trait ;)
RépondreSupprimerMerci !! ;) Bon, je n'ai pas vraiment de mérite puisque l'influence asiatique vient du dessin d'origine ;)
SupprimerPeut-être, mais il fallait y penser ! ;)
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